Catégorie : presse
Avant la fermeture de ce blog
La première version de mon site officiel est en ligne, après moult aventures avec les hébergeurs, anyway, http://www.walthergallay.com pour ceux qui veulent suivre l’évolution de mon 1er album solo « STIGMATES ».
La pochette sera dévoilée le 9 Février 2014 ainsi que la charte graphique de ce projet et les pré-commandes en ligne. Ce site est donc « visuellement » provisoire. Je travaille comme un damné depuis plusieurs mois sur ce projet qui je l’espère, saura vous séduire de par ses textes et ses climats ;).
Merci à ceux qui me soutiennent dans cette aventure and so, welcome on da official site !
Walth
En attendant le .com
8 heures de taf non-stop pour mettre en ligne ce site qu j’ai tenté de faire simple te efficace. Bref, en attendant le .com, voici le site provisoire de bib, bien entendu pour mettre en avant »Stigmates ». Vos réactions seront les bienvenues
This is the link : http://walth26.wix.com/walthergallay
Quoi qu’on puisse en penser, Les Inrocks, magasine « ami » de longue date de feu Noir Désir, affiche une couverture dans son numéro du 23 Octobre, avec Bertrand Cantat. Bien entendu, nombres de journalistes s’amusent alors à décrypter cette interview en en tirant soir le pire, soit le meilleur, n’oublions jamais que c’est à chacun de se faire une opinion, voici l’annonce de cette itw par Les Inrocks. Vous trouverez aisément le magasine en kiosque.
Article Inrocks/ Annonce Couv :
Dix ans depuis le drame de Vilnius. Dix ans qu’il ne s’était pas exprimé dans les médias. Alors que Noir Désir est dissous et qu’il revient avec un nouveau groupe, Détroit, entretien exclusif avec Bertrand Cantat, un homme qui ne se cherche pas d’excuses mais qui ne peut survivre sans la musique. A paraître dans les Inrocks mercredi 23 octobre.
“Quand il parlera…” C’était la seule promesse, depuis plus de dix ans, de l’entourage le plus direct de Noir Désir et Bertrand Cantat à nos demandes d’interviews. On voulait lui parler non pas pour le disculper, le poser en victime : Bertrand Cantat, de ses mains, avait commis l’irréparable, l’indicible et avait été jugé pour cela. Pas question, donc, de refaire son procès – lui-même avait tout reconnu. Si on voulait lui parler, c’était qu’au-delà de la consternation causée par la mort de Marie Trintignant, au-delà de l’effroi face à ce meurtre passionnel absurde, on ne reconnaissait pas le Bertrand Cantat décrit par une certaine presse qui avait largement battu en dégueulasserie, lynchage et enquêtes bâclées les tabloïds anglais que la France sait si bien montrer du doigt. L’homme a donc été condamné, sans traitement de faveur, sans passe-droits. Il a purgé sa peine jusqu’à son terme et c’est donc en homme libre qu’il est sorti de la maison d’arrêt de Muret.
Libre ? Contraint de vivre avec une suspicion permanente, jusqu’à être associé de manière douteuse au suicide de son épouse Krisztina Rády, Bertrand Cantat a découvert qu’il restait un homme traqué, tronqué, à qui on interdit d’exercer le seul métier qu’il connaisse. Comment peut-on refuser au chanteur la rédemption que l’on accorde, à juste titre, à tous les autres condamnésen recherche de réinsertion ? Ou alors, c’est ce “juste titre” qui est remis en question… On ne peut lui interdire le droit d’exercer son métier au nom de la morale, de la décence : ça serait nier le travail et les décisions des tribunaux, instaurer une autre forme de condamnation, à vie, une autre forme de justice. De cette vie nouvelle, Bertrand Cantat n’avait encore jamais parlé. On savait qu’il avait tout tenté pour relancer l’aventure chaotique de Noir Désir. Mais cette fois, le groupe de rock français le plus important de ce dernier quart de siècle n’a pas pu combler le fossé, devenu gouffre, de ses différences.
En ce début d’automne, le “quand il parlera” est devenu une réalité. Pour la première, et la dernière fois sans doute, Bertrand Cantat s’est exprimé, lors d’un entretien de trois heures. Sur Vilnius, l’amour fou, la mort de Marie Trintignant, sa culpabilité de tous les instants, ses remords éternels, le suicide de Krisztina Rády ou, aussi dérisoire soit-elle au regard du désastre, la fin de Noir Désir. Grave et concentré, Bertrand Cantat ne s’est jamais défilé. Il sait que son retour à la vie civile sera compliqué, mais la musique est revenue le chercher. Avec le fidèle et discret Pascal Humbert, il a formé Détroit, groupe ouvert qui sortira Horizons, le 18 novembre.
Chacun cherchera, dans les textes, des clés pour éclairer ce vaste trou noir. Chacun y verra ce qu’il souhaite y trouver, refera les comptes de Cantat avec la justice. Lui sait ce qu’il a fait, qu’il ne peut y avoir de pour ou de contre quand une jeune femme est morte. En vous fixant de son regard délavé, il demande juste le pardon de ceux que son geste de folie a entraînés dans ce tourbillon de malheur et de vies brisées. Il le sait, de toutes les prisons, il en est une dont il ne sortira jamais vivant : Bertrand Cantat.
>> Entretien exclusif à lire dans Les Inrocks, en kiosque mercredi 23 octobre.
Par JD Beauvallet
Larsen Project : Track 74 Café Bertrand ! (source Blog CafB www.cafb.fr)
TRACK 74 : CAFE BERTRAND
Preuve s’il en est que faire du rock en français, c’est possible, et que les programmateurs de radio ou d’émissions musicales à la teloch sont des incompétents qui doivent aimer la musique à peu près autant que j’aime les épinards, aujourd’hui on parle de Café Bertrand!
Parce que sérieux, quand on allume la radio et qu’on tombe sur du Christophe Maé alors qu’il existe des groupes français comme Café Bertrand, ça fait chier.
Café Bertrand, c’est un groupe de Rock (et même de Hard Rock) composé de Walther Gallay (chant / guitare), Nicolaï Quintero (Guitare – Backings), Alain Perusini (basse) et Yuri Quintero (Batterie), qui fait des concerts avec Deep Purple et AC/DC à ses heures perdues.
C’est énergique, efficace, grassouillet sur les bords comme il faut, y’a des solos, des textes cools, une basse bien présente (écoutez moi ça sur des vraies enceintes, nom de dieu, à chaque fois que vous écoutez de la musique sur des baffles d’ordi portable, Flea égorge un chaton), et une batterie poum-tchack-poum-poum-tchak-break-poum-tchack.
Remarquez la subtile différence avec la batterie d’AC/DC, qui elle fait: poum-tchack-poum-tchack-poum-tchack-poum-tchack.
Les bonhommes tournent depuis 20 ans (je le sais, ils vont sortir leur super DVD de la mort pour fêter leurs 20 ans), ont 4 albums qui sont tous très bien (mais moi, je préfère leur dernier, Les Mains dans l’encre), et je sais de source sûr qu’il vont sortir un nouveau album (ils me l’ont dit)
NB: En première partie d’ACDC, c’était cool!.
Je vous laisse avec Mescaline, parce qu’elle est bien, et Des Cris, parce que on voit clairement dans le clip que le bassiste à une 5 cordes.
Mescaline (filmé par un fan avec un téléphone) Espace KironParis 29.04.2009
CLIP OFFICIEL « DES CRIS » 2012
POUR LIRE L’ARTICLE ORIGINAL,CLIQUEZ SUR LA BANNIERE « LARSEN PROJECT » en haut de page
CAFB par zOz – Mars 2013
Café Bertrand était en concert au Brin de Zinc ce Vendredi 29 Mars 2013 et nous avons eu le grand bonheur de voir débarquer pas mal de fans ayant fait de la route (belgique, clermont ferrand, grenoble, suisse,etc).
A l’occasion de ce concert qui a été ouvert par les Dypingoos, jeune groupe rock de la région d’Annecy, l’ami zOz était présent avec nous, aussi voici quelques shoots « posés » réalisés avant le montage de la scène.
Des photos lives de zOz,Gilles Bertrand et Denis Charmot seront mises en ligne dans le LIVE REPORT relatif à cette date dans la semaine à venir. CAFB sera en résidence à La Puce à l’oreille en Mai et donnera un concert gratuit le JEUDI 9 MAI dans les murs de la salle de Riom (63), André Hebrard, photographe du lieu suivra la résidence, objectif collé à l’oeil;)
En attendant, voici quelques shoots de l’ami zOz.
www.walthergallay.com
Un beau cadeau reçu pour mes 42 piges, un site qui sera en ligne prochainement et qui remplacera ce blog, bien trop chronophage pour moi.
Ce site sera donc voué à toutes mes actions « solo »
A savoir,
- Les différentes collaborations avec divers artistes depuis 1992 (écriture, featurings,arrangements, participations choeurs etc) ainsi que les projets en cours avec d’autres, à venir pour 2014 avec du lourd, autant en France qu’à l’étranger.
- Bien entendu, mon album solo, qui sera double et regroupera pas mal d’invités que je classe personnellement dans la catégorie de ceux qui me font vibrer dans leur musique, leurs attitudes, leur foi et bien entendu leur talent. Un espace réservé aux adhérents permettra de suivre l’évolution de l’album, dans son maquettage, comme dans les enregistrements, les rendez-vous, avec des posts photos et vidéos parfois, des posts de textes sur lesquels vos avis seront les bienvenus. Cet album sortira le 9 Mars 2014, quoi qu’il arrive. Ce disque sera accompagné d’un bouquin d’une 50ene de pages avec des photos, l’enregistrement de cet album étant suivi par 4 photographes différents.
- Je parlerai aussi du bouquin « Histoires & condiments« déjà bien commencé et qui parlera de la fondation de Café Bertrand, ou, quand, comment, pourquoi, avec qui, quand et donc ? Il y aura tout sur les anecdotes croustillantes de mes 20 dernières années (voir plus puisque le bouquin commence quand j’ai 11 ans) et pour ceux qui me connaissent , je ne prendrai pas de gants,dans le hard, dans le tendre et ça, il fallait s’y attendre;).
- Il y aura bien sûr aussi une rubrique « archives » regroupant les articles de presse de 1990 à aujourd’hui et plus, qui sait. Articles de presse, interviews, lives radios, lives TV,etc
Mais je vous réserve aussi de belle surprises sur ce site car je parlerai de Café Bertrand bien entendu (puisque ce groupe est mon « bébé » et qu’il s’inscrit dans le pérenne puisque nous allons commencer aussi l’écriture d’un nouvel album), mais surtout de tout ce qui touche au personnel, le coeur écrira, à ventricules ouverts, et dévoilera des facettes qui n’ont rien à voir avec CAFB et qui ont comptées énormément pour moi et ont fait que je suis ce que je suis aujourd’hui, un auteur, un musicien, qui n’a pas d’autres prétentions que de faire les choses bien. Vous me connaissez, je déteste les branleurs et les « melon-men » aussi je ne rentrerai pas dans la caricature O combien détestable du mec qui se prend pour un autre mais relaterait avec sincérité tout ce qui a pu m’arriver, ce site étant de toute façon réservé à ceux qui le suivent et que je salue grandement au passage !
Bref, je ne vais pas faire un descriptif de 20 pages sur ce site à venir, je tenais juste à en informer les visiteurs de mon blog et autres pages liées à des réseaux sociaux, que mon site officiel est en cours de réalisation. Suivez l’affaire Rockers 😉
Walth
ROCK AGAINST THE MACHINE – Chronique 01 : CAFE BERTRAND
Radio Campus : Café Bertrand, Putain 20 ans !
Voici un article trouvé sur le web de Radio Campus et écrit par Maxime Guitoux Marchais dans « album de la semaine » propulsant le quatuor que nous sommes au rang de meilleur album rock français de l’année pour ce mec que nous saluons au passage. L’article est reporté ci-dessous, vous pouvez le voir en direct-live en cliquant sur la photo du groupe.
Fin décembre déjà, il est donc temps pour moi d’aborder l’album qui m’a le plus marqué cette année. Il est évident pour les gens qui me connaissent que l’album Blunderbuss de Jack White doit être classé hors catégorie… laissant alors la place de meilleur album de l’année au somptueux Les mains dans l’encre du quatuor français Café Bertrand. L’occasion pour moi donc, de vous parler de l’album, mais aussi de ce groupe méconnu du grand public, qui pourtant fête ses 20 piges !
Formé en 1992 autour de Walther Gallay, le Café Bertrand enchaîne les titres avant de sortir son premier album en 2005 sur le label indépendant Rock Revolution Records. Ce premier bijou intitulé Les airs empruntés attire les critiques et met le groupe sur le devant de la scène française.
La consécration arrive en 2006 alors que le groupe assure la première partie de John Fogerty dans la capitale, et finit par être contacté par les dinosaures du hard rock : les Deep Purple. C’est l’envol pour le Caf’B qui, après tant d’années se retrouve à chanter en première partie d’un groupe de légende et ce, lors de 36 dates. En tout, plus de 150 000 personnes eurent la chance, le privilège d’entendre ce groupe. Je fus l’une de ses personnes, et lorsque j’entendis pour la première fois le titre « Les vents » en live à La Rochelle, je pris une claque. Imaginez, j’avais alors 15 ans pas plus, et je n’attendais que les Purple et le bordel environnant, avec les « vieux » en train de pogoter et moi au milieu à prendre mon pied… Et, je n’eus même pas le besoin d’attendre, Caf’B avait déjà enflammé la salle !
Dès lors, je me suis mis à suivre ce groupe. Et, ce ne fut pas une surprise d’entendre des titres aussi puissants que « C’est comme ça », « Sainte tutelle » ou encore « Mescaline » ; titres de l’album L’art délicat du Rock & Roll. Un album mixé par Roger Glover – rien que ça – qui allie riff sulfureux et textes poétiques. Ca y est, je prends le pari que le groupe remplira un jour les plus grandes salles de France…
Et bien, figurez vous, je n’eux pas le temps de dire ouf que mon souhait était exaucé. Et mieux encore, c’est le Vélodrome de Marseille et le Stade de France qui se présentent à eux, pour assurer la première partie des géants AC/DC ! Un rêve éveillé pour les membres… 70 000 personnes et une mission : les faire bouger avant l’arrivé du lutin Angus ! Le groupe s’est enfin taillé une réputation plus que solide, enchaîne les plateaux télé, passe au prestigieux Montreux Festival etc…
2012 marque le retour en force du groupe qui, pour ses 20 ans s’offre un album intitulé Les mains dans l’encre. Il s’agit du troisième album du groupe et celui-ci est tout simplement grandiose : Walther, l’âme et le chanteur charismatique de ce groupe pose sa voix sur des nouveaux textes qui vous prennent aux tripes et Alain Perusini dit « le Sioux », nous envoie des sons gras depuis sa basse. Mais, l’arrivée des frères Quintero, Yuri à la batterie et Nicolai à la guitare, n’est pas étrangère du succès de ce nouvel opus. Le premier est le véritable moteur du groupe, il impose son énergie en prenant plaisir à se défouler sur ses futs et le résultat est tout à fait remarquable. Le second quant à lui est un virtuose et trouve des sons sur sa gratte que l’on aurait pu ne jamais imaginer. Sur cet album, le groupe s’est aussi entouré de Kiki Graciet à l’harmonica et de Simon Jones au violon, deux bonhommes qui ont su tirer le meilleur d’eux-mêmes pour le plaisir de nos oreilles.
La reprise du groupe de la chanson « Un monde à part », interprétée originellement par Walther Gallay seul, est à ne pas louper ; tout comme la chanson « Hype », que j’apprécie tout particulièrement. Et que dire de la très engagée « Ils ont voté »… Vous l’aurez compris, cet album est tout simplement magnifique et reste à mes yeux, le meilleur album rock de l’année.
Parfois timide, souvent puissant, Café Bertrand sait comment faire de la musique de qualité et l’on comprend parfaitement pourquoi aujourd’hui, on considère le groupe comme la deuxième meilleure formation de rock français après les Noir Désir dont ils sont les héritiers. Après tout, Walther Gallay le dit lui-même : « Moi je n’ai jamais prétendu tutoyer les dieux, rien que des nuages ! ». Il ne nous reste plus qu’à vous remercier pour ces 20 dernières années, en espérant en avoir au moins 20 nouvelles !
Maxime